Puisquune de ses grandes valeurs est le partage, elle voudra vous connaître de plus en plus. Elle voudra connaître votre famille et vos amis. Elle ne les aimera peut-être pas beaucoup, mais elle veut les connaître. Elle veut ça parce qu'elle a un pressentiment et veut le vérifier. Plus elle est impliquée dans votre monde, plus elle vous connait et plus elle sait si Vousconnaissez ma femme ? Elle est belle hein ? Fermer. LeLoMBriK; Participer ; Connexion. Nom d'utilisateur Mot de passe Mot de passe oublié ? Rester connecté » Créer un compte. Inscription. 7. Partagez sur Vousserez toujours dans mon coeur, Miyagy et ma fifille . J’espère que vous aimerez aussi mes créations. RESPECTEZ LA NATURE !!!!!ELLE EST SI BELLE!!!!! Tous les animaux, sauf l'homme, savent que la chose essentielle, dans la vie, c'est d'en profiter. La tolérance ne devrait être qu'un état transitoire. Elle doit mener au respect. Tolérer c'est cash. Je sais faire la différence entre l'amour lesbien et l'amour hétéro. À mes yeux, ils n'ont tellement rien à voir que ça tombe sous le sens sans avoir besoin de l'expliquer. Le désir d'une lesbienne pour une autre femme n'a rien de commun avec le désir d'un homme pour une femme. Ni même avec celui d'une femme pour un n'a rien à voir avec le fait que les femmes seraient plus douces ou discrètes ou passives, il suffit de lire de la littérature lesbienne ou nous écouter parler entre nous pour s'en rendre compte. Mais il y a quelque chose et quand on me demande de l'expliquer j'en suis su que j'étais lesbienne bien avant de savoir que j'étais une femme. Quand j'ai commencé à regarder Buffy contre les vampires à l'âge de treize ans mon personnage préféré était Willow Rosenberg et j'étais incapable de dire si je voulais être elle ou si j'en étais amoureuse. Elle se découvre lesbienne dans la saison 4 en arrivant à l'université, quand moi j'arrivais au appris beaucoup trop tard que les garçons pré-adolescents, supposément hétéro, ne s'identifient pas à la jeune fille timide qui est amoureuse de son meilleur ami depuis la maternelle. En tout cas pas comme je pouvais m'y j'ai appris beaucoup trop tard que les garçons adolescents, supposément hétéro, n'ont pas le cœur qui se rempli de joie quand le personnage féminin sur lequel ils ont jeté leur dévolu fait son coming-out de lesbienne. En tout cas pas comme le mien l'a crois qu'il y a quelque chose qui se rapporte à la possession ou à la compétition dans le désir hétéro et qu'on ne retrouve pas dans le désir lesbien. Je crois que les hétéro essayent de prouver quelque chose au monde à travers leur désir. Je crois que leur désir s'exerce au travers du désir des autres. Alors ils demandent Vous connaissez ma femme ? Elle est belle hein ? » et elles se rassurent Vous avez vu mon copain il fait la vaisselle et le ménage, les mecs sont nuls mais mon copain est génial. »Jusqu'à un certain moment dans ma vie je suis toujours tombée amoureuse de filles à réparer. Je me disais qu'avec assez d'amour et d'attention elles verront que le monde n'est pas intégralement rempli de personnes comme celles qui les ont blessées ou traumatisées. Qu'il y a d'autres personnes, capables, elles, de douceur, dignes de confiance et je voulais être cette première personne pour elles. Et tant pis si une fois plus fortes elles longtemps cru que j'étais un nice guy. Parce que c'est ce que disent les nice guys. Ils sont gentils avec les filles et elles se cassent chez les bad boys. J'ai compris trop tard que les nice guys sont gentils pour obtenir du sexe et s'en vanter auprès des copains. Et j'ai compris trop tard que voir sa propre valeur dans le travail émotionnel qu'on est capable d'effectuer c'est quelque chose de largement hommes hétéro me donnent toujours l'impression de chercher à plaire aux autres hommes et à attiser leur jalousie en ayant la plus bonne meuf. Et les femmes hétéro à attiser la jalousie des autres femmes en ayant le gars le moins crois que le désir lesbien n'a pas besoin d'une audience pour compter. Les lesbiennes n’ont rien à prouver. Une lesbienne ne cherche pas à montrer que sa meuf est la plus belle, ou que sa meuf est celle qui la traite le moins mal. Des lesbiennes peuvent s'aimer pour ce qu'elles sont l'une pour l'autre. Admirer leurs forces respectives et comprendre leurs vulnérabilités sans que la valeur principale de leur amour passe par le regard des ne connais pas d'hétéro capable d'aimer comme ça. 17 mars 2022 - MAJ 23/03/2022 1117 Drame Historique Romance Au commencement de L'Histoire de ma femme, un simple pari de Jakob Gijs Naber et son ami arnaqueur Kodor Sergio Rubini le grand capitaine au long cours néerlandais doit se marier avec la première femme qui entre dans le café dans lequel ils se trouvent. Ainsi, la vie de Jakob va radicalement basculer grâce à cette rencontre avec une certaine Lizzy Léa Seydoux belle et insaisissable. À partir de cet élément déclencheur aussi bateau que symbolique dans sa portée, la réalisatrice hongroise Ildikó Enyedi entame l’exploration romanesque d’un couple traversé par les tourments du temps, aux doutes sur les sentiments de l’autre et la perte de cet amour. Les gars veulent serrer des meufs, les meufs serrer des gars Dans son précédent long-métrage Corps et âme récompensé de l'Ours d'or au festival de Berlin en 2017, la réalisatrice hongroise s’était déjà penchée sur les problématiques du couple de manière étonnante dans une proposition fantastique remplie de mystère dans laquelle deux personnages se retrouvaient dans le même rêve. Dans le cas de L’histoire de ma femme, il s’agit de l’adaptation du roman éponyme de son compatriote Milán Füst faisant état d’une histoire d’amour épique traversée par le lyrisme et les tourments. Une base qu’a reprise la réalisatrice en exécutant un film-fleuve, focalisé sur l’inquiétude de ne pas être aimé de son protagoniste Jakob sans cesse dans l’incertitude. Car comme annoncé plus tôt, Jakob est un marin dont le sel de sa vie est le large et non pas la terre ferme et les dernières soirées mondaines. "J'écris mon amour." C’est le contrepoint de Lizzy, véritable femme de la ville qui profite des années folles du début du 20e siècle en appréciant l’effervescence des groupes de femmes et d’hommes distingués, en exemple la présence régulière de Dedin Louis Garrel également homme de la ville, bien loin des marasmes marins de Jakob. Ce travail au long cours sur la temporalité d’un amour a pour ambition d’apporter un regard contemporain sur la crainte de l’adultère du point de vue d’un homme et des conséquences machistes que cela implique sur sa femme. Jakob n’est que frayeur pendant que Lizzy reste un soleil stable de montagne agrémenté d’un froid mystérieux que justement son mari tente de comprendre durant presque trois heures de film. "Tu m'aimes mais je te fuis." Le temps de l'amour Disons-le tout de suite, il n’aura déjà échappé à personne lors de sa projection au Festival de Cannes 2021, la durée astronomique du film d’Enyedi 2h49. Ce parti pris de la durée étirée jusqu’à l’os ne joue effectivement pas en la faveur du long-métrage convoquant davantage l’ennui que l’enthousiasme au visionnage. Bien trop long, L’histoire de ma femme comporte dans sa majeure partie très peu de moments d’éclats et de frayeurs, plus proche de l’étude du couple que de la grande épopée. Toutefois, allons plus loin sur la question du temps qui a ici intéressé profondément la cinéaste hongroise. À défaut de jouer sur la virtuosité et le rythme, cette dernière pose une question simple et complexe à la fois comment filmer le temps de l’amour ? C'est le temps de l'amour, le temps des copains et de l'aventure De la même manière que Julie en 12 chapitres du réalisateur norvégien Joachim Trier, l’intrigue de L’Histoire de ma femme est découpée en sept chapitres marqués par l’apparition d’un carton sur l’image. Cette démarche plus littéraire ou du moins plus scénaristique que visuelle remplit la mission d’exécuter les ellipses temporelles de notre passion sentimentale et fragmente ainsi avec douceur les grandes étapes du couple. Cette simple inscription graphique s’associe dans le même temps au montage minimaliste optant pour une économie dans le découpage pour mieux profiter des plans souvent cadrés en plan large dans lequel l’œil du spectateur peut s’abandonner. Sauf que, de manière regrettable, cette grande proposition tombe dans la préciosité déconcertante et l’académisme forcené, ne répondant en conséquence pas entièrement à la problématique de la durée. "Tu veux faire quoi maintenant ?" Le temps c'est quand même de l'argent De la même manière, le soin de la fantastique direction artistique inhérente à L’Histoire de ma femme écrase in fine l’approche réflexive de cette étude du couple. Ce défaut fondamental s’incarne par une dimension picturale prégnante dans la composition des cadres plus proche de la préciosité culturelle que de la pure nécessité. Le film est comme une ravissante robe inaccessible que le commun des mortels ne peut évidemment pas s’offrir. Et le paradoxe est là puisque ce maniérisme agréable dans un premier temps, nous sort du film et dénature quelque peu des situations bien trop pauvres dans son apport épique. Attestant cela, les séquences de sexe, bien qu’elles soient tout de même assez crues, manquent cruellement de chair et d’incarnation véritable puisqu'à chaque fois notre œil est placé bien trop loin de l’action, ce qui n’aide pas à profiter de toutes leurs puissances. Quand tu regardes le film partir sans toi La conséquence est alors simple nous sommes souvent mis à distance de cette beauté tout autant que de l’énigme qu’incarne Lizzy pour Jakob. À la fin, on se pose même une question était-il utile de nous raconter, une nouvelle fois, l’histoire déchue d’un couple par le prisme d’une vision masculine ? D'autant plus que ce choix est désormais daté, voire désuet, au temps des grands changements contemporains sur les représentations des corps peints par la distinction entre le male gaze et le female gaze. Un choix encore plus surprenant et déconcertant avec la présence d'Ildiko Enyedi derrière la caméra. Alors tristement, comme l’histoire de Lizzy et Jakob n’a rien de spéciale et souffre de son ancrage bien trop datée des années 20, elle nous empêche cruellement de s'y attacher, nous laissant désespérement à quai. Résumé L'Histoire de ma femme patine dans sa durée qu'il porte comme un fardeau avec en plus de cela un personnage masculin fade et tout bonnement antipathique. Jamais convaincant dans son portrait de l'obsession amoureuse, le nouveau long-métrage de Ildikó Enyedi reste à terre au lieu de nous embarquer dans un grand voyage rythmé par les tempêtes et les fracas. Autre avis Alexandre Janowiak Ildiko Enyedi livre une grande fresque séduisante, ample et profonde sur l'amour et sa perversité avec L'Histoire de ma femme mais parvient rarement à passionner à cause d'un classicisme fatigant et d'une longueur excessive. Autre avis Simon Riaux Imprévisible et surréaliste, cette immersion dans un amour rêvé, raconté et fantasmé tient autant du baume que du venin. Long et fascinant, le film impressionne par l'intelligence et la délicatesse des sentiments qu'il évoque. Newsletter Ecranlarge Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large. Vous n'êtes pas d'accord avec nous ?Raison de plus pour vous abonner ! Je soutiens la liberté critique "- Ça va être tout noir !" Nom totalement improbable, répliques décalées et belle brochettes de stars Gérard Depardieu, Valérie Lemercier, Jean Rochefort..., RRRrrrr !!! sera rediffusée ce dimanche à 20h50 sur TFX. Cette comédie d'Alain Chabat et des Robins des Bois alias Marina Foïs, Jean-Paul Rouve, Pierre-François Martin Laval, Maurice Barthélémy et Elise Larnicol plonge au coeur de l'âge de pierre "Bonjour, Pierre!", pour suivre deux tribus qui se battent pour la recette du shampooing. Les "cheveux sales" d'un côté contre "les cheveux propres". Alors qu'une cheveux sales est partie espionner le clan rival, ce dernier est bouleversé par un meurtre, le premier de l'Histoire. Boudé à sa sortie, en 2004, RRRrrrr !!! a depuis obtenu le statut de film culte, notamment grâce à ses multiples rediffusions télévisées. Retour sur ses répliques qui ont fini par marquer l'histoire... de la comédie française. C’est quoi "l’humour Chabat" ? L'âge de pierre, une manne intarissable de jeux de mots RRRrrrr !!! a été imaginé par les Robins des Bois et Alain Chabat, puis ce dernier s'est chargé de la mise en scène, et cela se ressent à l'écran, le film étant un parfait mélange de leur humour à tous le goût pour les jeux de mots de Chabat côtoie celui de la répétition des Robins, le tout saupoudré d'une bonne dose d'absurde ! Dès le début, l'appel du chef Maurice Barthélémy, donne lieu à une scène savoureusement décalée, les scénaristes ayant eu l'excellente idée d'appeler tous les habitants du clan Pierre, les hommes comme les femmes "- Très bien, on va faire l'appel. Pierre ? - Présent. - Pierre ? - Présent. - Pierre ? - Présente. - Pierre ? - Présente. - Ah, Pierre ? - Présent. - Pierre ? ... Pierre... Évidemment encore absent celui là. J'imagine que Pierre n'est pas là non plus ! Comme par hasard, toujours ensemble ces deux là." Pour les distinguer, les personnages importants sont tout de même définis par leur fonction le chef, la femme du chef Elise Larnicol, le guérissologue Alain Chabat ou encore "le blond" Jean-Paul Rouve, qui n'en peut plus de ce surnom "- Je suis pas blond, ok ? Je m'appelle Pierre. B-L-O-N-D !" Les animaux, sports et objets ont eux aussi droit à leurs noms rigolos les poulemouths côtoient des chevalmouths et mangent des vermouths, et quand ils s'ennuient les Pierre jouent au biche-volley ! La préhistoire est une source inépuisable de jeux de mots, comme celui-ci, parfait pour insister sur le fait que le duo composé de Pef et de Rouve passe son temps à glandouiller ''Vous avez vraiment la belle survie, vous deux !'' Le comique de répétition Dans leurs sketchs, les Robins des Bois prenaient un malin plaisir à étendre les situations au maximum et à répéter les mêmes gags en boucle ? On retrouve tout cela dans RRRrrrr !!!. A force d'être ainsi répétées, certaines répliques se sont sans surprises imprimées dans l'esprit des spectateurs... et dans le langage courant. Par exemple "- Vous connaissez ma femme ? - Oui, chef ! - Elle est belle, hein. - Oui, chef !" Ainsi que la célèbre rengaine de Pascal Vincent, alias le préveneur de nuit "- Ça va être tout noir ! - Ta gueule !" Les expressions détournées Autre tic d'écriture amusant les personnages de RRRrrrr !!! ne cessent de malmener la langue française, jouant avec les expressions ou les prenant au sens propre. Par exemple " - Poussez-vous, excusez-moi... poussez-vous, excusez-moi... poussez-moi, excusez-vous..." " - Guy, elle m'aime ! Je suis un couple, maintenant." Ou "La truite remonte le ruisseau... pas à pas." et "Là on est au sommet du gouffre." Pour conclure "C’est marrant ce que tu dis parce que c’est pas tellement marrant !" Mars Distribution L'enquête sur les premiers "crimes" de l'histoire de l'humanité RRRrrrr !!!, c'est aussi une enquête, qui joue aussi avec tous les codes du polar. Alors que les premiers assassinats sont commis au sein de la tribu, le chef du village tente de trouver le "crimier", le coupable de ces crimes horribles et non de meurtres, car il est très fier du terme "crime"!. L'assassin en question ne cache pas franchement ses méfaits, pourtant le mystère mettra un certain temps à être éclairci et sera là aussi un bon prétexte pour multiplier les répliques déjantées " - Mais jamais quelqu’un n’a tué un autre quelqu’un !" "Elle est morte de vieillesse... mais jeune." "- C’est quoi ton type de femme à toi ? - Vivante." "- Il était comment ?- Il était de Ok, arrêtez tous les hommes de dos que vous trouverez." Alain Chabat parle d’Astérix "Même si ça a l’air d’être le bordel, c’est quand même un peu précis" Bonus Ce n'est pas tout à fait une réplique, mais le film s'ouvre sur cette intro qui n'a aucun rapport avec la choucroute "Le 9 mai 1969, à deux kilomètres de la frontière nord du Laos, La 101ème Division d’Infanterie de l’armée américaine progresse vers la colline 937. Pour eux c’est une simple reconnaissance. Pour les Viêt-Cong, la colline 937 est une zone stratégique. La dizaine d’appelés de la 101ème Division, peu formée au combat, devait effectuer cette mission de routine en moins de deux heures. Ils résisteront héroïquement pendant neuf jours. Ce film ne raconte pas leur histoire." Un gag qui rappelle le ton du Grand détournement/La Classe américaine 1993, de Michel Hazanavicius, un gros délire dont Alain Chabat avait participé au doublage "Attention ! ce flim n'est pas un flim sur le "cyclimse". Merci de votre compréhension." La Tour Montparnasse infernale le best-of des scènes cultes du film d'Eric et Ramzy

vous connaissez ma femme elle est belle hein